Martinique. Pour la 150° anniversaire de l'abolition de l'esclavage de 1848. Apprendre à se connaître après s' être reconnu, c' est à cette tache que s'est attelé Mandela en Afrique du Sud. Plutôt que de rechercher une responsabilité des uns et des autres pour des faits qui se sont passé il y a plus de 150 ans, c'est à une lutte contre le racisme séquelle de l'esclavage qu'il faut appeler les martiniquais béké ou pas. Le 22 mai 1998 par Hugues et Bernard PETITJEAN ROGET.
http://a-quand-un-mandela-martiniquais.blogspot.com/
POUR ROLAND SUVELOR, ANCA BERTRAND ET QUELQUES AUTRES
Lu en novembre 2002 à la Martinique dans une salle où il y avait 250 personnes dont Aimé Césaire et René Ménil pour la surprise faite à Roland Suvelor, un grand intellectuel martiniquais. On lui avait fait croire qu’il participait à un colloque alors que c’était lui la grande figure honorée ce jour-là. On parle de l’amitié, de la découverte et du refus par des enfants des formes de ségrégation fondées sur des différences de religion ou des différences raciales.
http://pourroland.blogspot.com/
LE MOUVEMENT SOCIAL DE 2009 EN MARTINIQUE ET GUADELOUPE
Né avec l’élection d’Obama Président des USA, le mouvement social de 2009 en Martinique et en Guadeloupe, a bien des points communs avec Mai 1968. Le peuple s’est invité à l’improviste, il parle et il dérange. L’ économie sera difficile à relancer. Mais la vision du monde a changée. Des békés saisiront ils l’occasion d’appendre à vivre ensemble autrement ? Le décryptage de l’émission de TV de Canal+ sur « Les derniers maîtres de la Martinique » pourrait paradoxalement y contribuer.
http://mouvement-2009-martinique-guadeloupe.blogspot.com/
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